Cure, dite aussi Presbytère

Inscrite au titre des monuments historiques depuis 1998

Bâtie en même temps que l’église paroissiale vers 1758-1765, sous l’égide du père Danezzi, la cure de Saint-Pierre est marquée par une «élégante austérité». Elle est savamment mise en scène au sommet d’une colline, aménagée en terrasses, au-dessus de l’église saint-Pierre/saint-Paul. La maison possède un plan rectangulaire à étage comme les cures de Saint-Denis et de Saint-Leu. Le seul élément de décor est un bandeau en relief qui sépare les deux niveaux. Les ouvertures alternent linteaux droits et linteaux cintrés. Les travées sont irrégulières et il n’existe pas de chainage d’angle. Une toiture pavillon à quatre pans fortement inclinés, autrefois couverte de bardeaux, couronne le bâtiment.

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Cure, dite aussi Presbytère